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Place du collectif dans l’intervention auprès des Organisation Hypermodernes -

Jamal LAMRANI - juin 2009

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extrait :
Est-il possible d’intervenir aujourd’hui, en tant que psychosociologue dans les organisations dites « hypermodernes » ? Face aux risques psychosociaux (usure , mal être au travail , stress, suicide...) aux risques d’éthique (instrumentalisation) et de posture (l’expert qui prescrit), quel rôle aujourd’hui tenir et dans quelles limites ? face à des commandes qui individualisent les problèmes, peut-on construire avec le "système client" des dispositifs d’intervention dans les collectifs où l’on travaille l’interaction individu/organisation ? Dans des entreprises où règne le culte de la performance et le court terme, peut-on construire avec les acteurs de l’entreprise des interventions dans la durée, qui produisent un autre sens ?


L’analyse de la demande dans la relation d’accompagnement

Cet article fait suite à une intervention de Guy AMOUREUX dans le cadre du colloque « Actualité des pratiques de consultation » et plus particulièrement d’un atelier consacré au coaching.

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La question posée concernait l’analyse de la demande dans les pratiques d’accompagnement individuel dans les organisations et particulièrement dans la mise en place d’actions de coaching.
Le coaching n’étant qu’un dispositif d’accompagnement parmi d’autres, la prise en compte des logiques d’acteurs exprimée dans la demande mérite sans doute d’être davantage analysée que dans une action de conseil ou d’aide à la réflexion stratégique par exemple. D’autant plus que le coaching, pratique récemment introduite dans les organisations, est de ce fait sujette à de nombreuses attentes souvent difficiles à décoder."


La contractualisation dans la relation d’accompagnement

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Cet article synthétise une intervention de Guy AMOUREUX dans le cadre d’une journée de travail organisée par l’ANVIE.

Lorsqu’un manager demande un coaching pour un membre de son équipe, où commence l’interférence entre le coaching et son propre management ?
Qu’en est il du lien à trois qui se crée entre lui, le coach et la personne accompagnée ?
Qui demande quoi à qui ?
Qui reproduit quoi dans la relation ainsi instaurée ?
Quel contrat peut se mettre en place dès lors qu’un des contractants exprime une demande dirigée vers autrui, assistant comme un spectateur à l’évolution de la situation qu’il a lui même créée ?

Autant de questions qui méritent de s’attarder sur la façon dont le coach va conduire cette partie de son action.


Le coaching, quels usages pour quels enjeux ?

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Guy AMOUREUX

Le coach doit surtout continuer au fil du coaching à se positionner en tant que tiers et non comme acteur assimilable au personnel de l’entreprise. Il n’est pas juge et partie.
Des choses doivent se dire entre patron et manager sinon il existe un risque que le coach prenne la place du patron.

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